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Financement du matériel professionnel

le 15-06-2021

Le financement des matériels professionnels concerne tout le matériel utilisé par les chirurgiens-dentistes.

 

 

Quels types de financement pour le matériel professionnel ?

Il existe, principalement, 3 types de financements : le crédit-bail, le crédit amortissable et la location financière. Leurs avantages sont multiples et doivent être pris en considération dès le commencement de votre projet.

 

Le crédit amortissable permet l’achat de matériels de seconde main ou neufs. Ce type de financement peut également être adapté à l’achat de lots de consommables comme par exemple, des fraises à usage unique, des kits d’implantologie, des gants… Le remboursement s’effectue entre 36 et 84 mois.

 

La location financière, quant à elle, est proposée pour les matériels neufs uniquement. Le montant et la durée du remboursement sont fixe et s’étendent entre 2 et 5 ans. Ce financement offre la possibilité de modifier certaines conditions de remboursement au cours du contrat. Ce qui le différencie des autres contrats.

 

Tout comme la location financière, le crédit-bail est également destiné au financement de matériels neufs. Son coût est généralement moins élevé que la location financière et le crédit amortissable. Néanmoins, la durée du contrat, prévu entre 3 ans et 7 ans, ainsi que les loyers sont fixés à la signature du contrat.

 

Si vous souhaitez en savoir plus sur ces différents financements de matériels professionnels, rendez-vous sur le simulateur de CMV Médiforce.


 

Cette vidéo vous a été proposée par CMV Médiforce.

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Installations de radiodiagnostic dentaire : quelles obligations respecter ?

le 15-06-2021

Les dispositifs de radiologie émettent des rayonnements ionisants, pouvant engendrer des risques d’exposition pour les salariés et le public du cabinet dentaire. Pour les protéger, la réglementation a créé le Conseiller en RadioProtection (CRP) et précise les responsabilités sur l’organisation à mettre en place.

En effet, les dentistes sont responsables de la radioprotection au sein de leur cabinet : démarches administratives auprès de l’ASN, conception des locaux, évaluation des risques, protection des salariés et des patients, formation, etc. Dans leur rôle d’employeur et de responsable de l’activité nucléaire, ils doivent désigner un conseiller en radioprotection qui va prendre en charge l’organisation de ce sujet au sein du cabinet.

 

Quels sont les installations et appareils concernés ?

Pour le domaine dentaire, il s’agit des installations de radiodiagnostic dentaire fixes ou mobiles (rétro-alvéolaires et panoramiques, avec ou sans dispositif de tomographie volumique à faisceau conique). Le CRP assure une vérification périodique de la sécurité de ces installations, le suivi de l’exposition des salariés et leur formation. Il conseille aussi les autres contrôles réglementaires associés (contrôle qualité externe des dispositifs médicaux et contrôle électrique).

 

Qui est le conseiller en radioprotection ?

Tout cabinet dentaire doit désigner un conseiller en radioprotection.
Ses missions portent entre autres sur :
• L’évaluation des risques d’exposition
• L’identification et la délimitation des zones à risques
• Les modalités de suivi de l’exposition des salariés
• Les mesurages et vérifications périodiques des moyens de prévention

Si ces missions sont assurées par le chirurgien-dentiste ou par un autre membre de l’équipe, il est soumis à une formation initiale de personne compétente en radioprotection de plusieurs jours à renouveler tous les 5 ans.

 

Quelle alternative pour un cabinet dentaire ?

L’activité du conseiller en radioprotection requiert un temps de formation et de travail significatif, auquel s’ajoute la responsabilité portée sur un sujet aussi pointu que celui des rayonnements ionisants et de la veille réglementaire.
Pour lever ces contraintes, le législateur a prévu le recours à un Organisme Compétent en Radioprotection (OCR). Bureau Veritas est un des organismes certifiés pour assurer cette mission.

Le cabinet qui externalise 100% de cette activité à un spécialiste de la radioprotection, économise des jours de formation et de gestion de la radioprotection. L’équipe de santé reste focalisée sur son activité dentaire, évitant ainsi des pertes de production. De plus, en confiant l’organisation et les vérifications à Bureau Veritas, Organisme Compétent en Radioprotection, il s’assure de la sécurité de ses installations et du respect des exigences réglementaires.

 

Comment limiter l’impact de ces vérifications pour l’activité du cabinet ?

En réduisant le temps d’immobilisation des salles de soin, Bureau Veritas limite l’impact sur l’activité du praticien et réalise :
• Les missions du conseiller en radioprotection de manière externalisée
• Les contrôles de qualité externe des dispositifs médicaux
• Les vérifications des installations électriques

Bureau Veritas vous propose un seul interlocuteur avec des interventions optimisées au sein de votre cabinet : un atout à la fois financier et pratique.

 

Connaître l’offre de Bureau Veritas !

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Pour en savoir plus sur les textes de références :
• Article R. 1333-18 à 20, conseiller en radioprotection (code de la santé publique)
• Articles R. 4451-111 à 126, organisation de la radioprotection (code du travail)
• Arrêté du 21 novembre 2018 portant homologation de la décision n° 2018-DC-0649, liste des activités nucléaires soumises au régime de déclaration
• Arrêté du 18 décembre 2019 relatif aux modalités de formation de la personne compétente en radioprotection et de certification des organismes de formation et des organismes compétents en radioprotection
• Arrêté du 23 octobre 2020 relatif aux mesurages réalisés dans le cadre de l’évaluation des risques et aux vérifications de l’efficacité des moyens de prévention mis en place dans le cadre de la protection des travailleurs contre les risques dus aux rayonnements ionisants

L’hypnose dans les cabinets dentaires

le 19-04-2021

L’équipe de Dent l’Hypnose est issue de la rencontre du monde dentaire et de la psychologie. Dentistes, psychothérapeutes et coachs en cabinet dentaire, nous pratiquons l’hypnose depuis plus de 20 ans. Une combinaison de connaissances pour mieux comprendre les besoins spécifiques du cabinet dentaire !

 

 

Qu’est-ce que l’hypnose médicale ? 

L’hypnose est un processus particulier et complexe qui correspond à un État Modifié de Conscience (EMC). Cet état naturel, qui s’apparente à la rêverie, permet de recentrer l’attention sur soi-même ce qui diminue l’impact de l’environnement : le cabinet dentaire, par exemple. Le patient créé alors sa propre réalité et peut facilement se projeter dans un endroit agréable, sans stress, comme des vacances au bord de mer.

Cette pratique n’entraîne aucun surcoût car elle nécessite pas de matériel spécifique et sa formation est prise en charge par FIFPL et ACTALIANS.

 

En quoi l’hypnose médicale est-elle intéressante pour nos cabinets dentaires ?

L’hypnose médicale en Odontologie permet de prendre en charge rapidement le patient au niveau de son stress avec des résultats immédiats, son anxiété et sa douleur.

Grâce à cette pratique, on obtient également des résultats physiologiques :
• Meilleure cicatrisation
• Effet sur la salivation
• Diminution des nausées
• Diminution du bruxisme
• Acceptation de prothèse
• Accompagnement pour l’arrêt du tabac…
Et cette liste est non exhaustive !

 


 

Alors rejoignez-nous pour une formation de 3 jours, applicable et reproductible immédiatement !

Les prochaines dates de formation sur Lyon sont :
– du jeudi 24 au samedi 26 juin 2021
– du jeudi 14 au samedi 16 octobre 2021
– du jeudi 9 au samedi 11 décembre 2021
Cette formation est prise en charge FIFPL et ACTALIANS.

Inscrivez-vous dès maintenant sur dent-lhypnose.com

 

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Qu’est ce que la SPFPL ?

le 01-12-2020

 

 

C’est quoi la SPFPL ?

La Société de Participations Financières de Professions Libérales (SPFPL) a été créée par la loi du 31 décembre 1990 relative à l’exercice sous forme de sociétés des professions libérales. Quasi-inconnue des professions de santé depuis sa création, c’est en 2012 que le Conseil d’État décide de l’ouvrir aux professions libérales de santé.
La SPFPL n’est pas une société d’exercice mais une structure de contrôle (holding) permettant de détenir des participations au sein de plusieurs sociétés d’exercice libéral (SEL).
Elle peut être exploitée sous les formes habituellement rencontrées en matière de société : SARL, SELAS, SELAFA, SA, …

 

Comment créer ce type de société ?

Pour créer une SPFPL il faut exercer en SEL et en détenir les parts. Il convient de faire appel à des conseils aguerris tels qu’un expert-comptable ou un avocat fiscaliste qui seront à même de valoriser les parts de la société d’exercice qui seront acquises par la SPFPL. Elle doit être immatriculée au registre du commerce et des sociétés. Les SPFPL doivent être inscrites au tableau de l’ordre professionnel concerné.
Plus de la moitié du capital social et des droits de vote doit être détenue directement ou indirectement par des personnes exerçant la même profession que celle exercée par les sociétés d’exploitation rattachées à la SPFPL.
Le réseau des Ingénieurs Financiers de CMV MEDIFORCE intervient très souvent sur le montage bancaire de ces dossiers afin d’en permettre le financement.

 

Cela est adapté pour tous les libéraux de santé ?

La SPFPL est accessible à tous les professionnels libéraux de santé exerçant en Société d’exercice libéral, et notamment les praticiens spécialistes, dont les chirurgien- dentistes.
La structuration de l’opération nécessite une rentabilité certaine car la création d’une SPFPL génère des coûts de constitution non négligeables (honoraires de conseils, droits d’enregistrement) et nécessite un suivi comptable spécifique.

 

La formule se développe… Quels sont les avantages ?

La SPFPL est un outil de développement de l’activité qui permet la prise de participations dans une ou plusieurs structures d’exploitation. Elle est ouverte à de nouveaux investisseurs.
Elle permet à son créateur de dégager du cash qu’il pourra utiliser pour développer un projet privé ou professionnel.

Les intérêts de l’emprunt qui finance l’acquisition des parts sont déductibles fiscalement.
La SPFPL bénéficie d’un régime fiscal favorable : les dividendes en provenance de la SEL dont elle détient les parts sont soit exonérés d’impôt (régime de l’intégration fiscale), soit très faiblement imposés (régime mère-fille).

Ainsi il est souvent plus avantageux d’acquérir les parts d’une SEL via une SPFPL plutôt qu‘en nom propre.
La SPFPL – dans certains cas – autorise l’entrée dans son capital d’associés extérieurs (investisseurs). Elle peut ainsi investir dans d’autres SEL pour développer son activité.

 


 

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Qu’est ce que la location financière ?

le 24-11-2020

 

 

La location financière c’est bien pour moi  ?

Pour financer un matériel médical ou dentaire le professionnel de santé doit choisir entre la location financière, le crédit amortissable et le crédit-bail. La location financière présente des avantages si vous souhaitez être toujours à la pointe de la technologie et que vous ne souhaitez pas être propriétaire de votre matériel. Un exemple, la technologie des caméras d’empreinte optique intra-orales pour le chirurgien-dentiste évolue très rapidement, et dans ce cas la location financière est recommandée pour toujours pratiquer avec du matériel dernier cri !

 

Quels sont les avantages de la location financière ?

L’un des principaux avantages de la location financière c’est l’évolution du financement en cours de location. Dès le démarrage du contrat vous avez la possibilité de faire évoluer votre matériel dentaire ou médical par exemple en ajoutant des accessoires, en upgradant le matériel, ou même en ajoutant un poste de travail supplémentaire. Cette évolution a donc un impact sur votre loyer qui est ajusté sur la durée restante. Pour bénéficier de cette adjonction vous devez contacter le vendeur de matériel.

 

Que se passe-il à la fin de la location financière ?

À la fin du contrat deux possibilités s’offrent à vous.  Si vous êtes toujours satisfait de votre matériel, vous pouvez prolonger la location d’années en années sans modification du loyer. Si vous n’avez plus besoin du matériel, ou que ce dernier est devenu obsolète, le loueur reprend simplement le matériel et les loyers s’arrêtent. Cette restitution vous évite d’une part de chercher un acheteur et d’autre part les contraintes habituelles de recyclage. Concrètement avec la location financière vous êtes locataire sur une durée définie dès le début du contrat, mais sans obligation après cette date. En crédit-bail vous devenez propriétaire du matériel moyennent une option d’achat de 1%.

 

Quelle est la différence majeure avec les autres formes de financement ?

La location financière est généralement proposée sur une durée de 2 à 5 ans pour des matériels innovants dont les évolutions techniques sont fréquentes.
Avec le crédit amortissable vous êtes immédiatement propriétaire du matériel et votre contrat est figé jusqu’à la fin. Le crédit-bail est assez comparable à la location financière à la différence notable qu’avec le leasing vous devenez propriétaire du matériel à la fin du contrat. En location financière, une fois le contrat terminé vous restituez le matériel devenu bien souvent obsolète.

 

Comptablement comment fonctionne la location financière ?

Comme un crédit-bail, la location financière est comptabilisée en charge et non en investissement. Le matériel n’est pas immobilisé et les loyers sont des charges déductibles. La location financière n’a donc pas d’impact au bilan et votre capacité d’endettement est préservée.
Fiscalement, en tant que locataire, vous ne payez pas la TVA en une seule fois mais au fur et à mesure sur les loyers facturés par le loueur.

 


 

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La blouse antimicrobienne, la blouse de demain ?

le 24-11-2020

Le tissu antimicrobien est une nouvelle technologie qui prend toute son importance depuis la crise sanitaire du Coronavirus. Ce tissu intelligent permet de limiter grandement le développement des bactéries et la transmission des germes. Dans un monde où l’hygiène et les gestes barrières prennent véritablement tout leur sens, les blouses médicales équipées de la technologie antimicrobienne font désormais partie de l’équipement des professionnels de santé. Pour autant, porter une blouse de protection ne doit pas faire oublier les bienfaits d’une apparence soignée. L’alliance de la sécurité et du style est-elle toujours d’actualité ?

 

 

Qu’est-ce que le tissu antimicrobien ?

Le choix du tissu à porter dans un environnement médical est primordial. Grâce à la technologie innovante brevetée SILVADURTM les blouses antimicrobiennes luttent avec une très grande efficacité contre les risques de contamination. Un tel résultat est rendu possible par l’action des ions argent qui encapsulent automatiquement les microbes nuisibles dans la fibre de la blouse médicale. Ces microbes emprisonnés sont dès lors libérés lorsque vous le passez en machine. De plus, cette technologie a l’avantage d’augmenter la durée de vie du vêtement.

 

Ce principe fonctionne sur un large spectre de bactéries, de moisissures, de virus et même de champignons. Ce procédé révolutionnaire justifie l’appellation de « tissu intelligent ». Il est dorénavant accessible auprès des professionnels de la santé soucieux de garantir une hygiène efficace tout au long de leurs activités.

 

Si la protection pour soi et pour autrui est au cœur de la préoccupation du corps médical, le choix du tissu antimicrobien est aussi celui du confort. Il est en effet capable de neutraliser les odeurs indésirables, de minimiser les colorations disgracieuses tout comme la présence de tâches liées aux bactéries. Pour le praticien comme pour le patient, ce tissu intelligent permet donc d’avoir une tenue intégralement saine en limitant la prolifération des microbes et des bactéries.

 

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Concilier l’apparence et la technicité du vêtement médical, un pari impossible ?

Le site Mankaia.com, 1er fabricant et distributeur de vêtements médicaux en France, a décidé de mettre en avant cette technologie. Son choix, validé par une communauté de professionnels de la santé, se porte sur la collection Infinity de la marque Cherokee parce qu’elle ne fait pas de compromis entre un look tendance et les normes de sécurité attendues par le milieu médical.

 

Pourquoi soigner son look au sein des métiers médicaux ? Pour soi déjà, cultiver sa bonne mine donne du courage pour la journée.
Pour les autres aussi, parce que ne pas renoncer à son style fait partie de ces petits détails qui influencent le rapport aux patients. On sait depuis longtemps que les tenues traditionnelles augmentent l’anxiété car elles dépersonnalisent le praticien. Quels que soient l’acte ou l’intervention, une belle tenue détourne l’attention du patient car elle attire le regard par l’énergie de ses couleurs.

Mais pas seulement. En réalité, vos patients ne regardent que vous et ils remarquent tout. La façon de vous exprimer, la nature de vos gestes, les détails de vos tenues. Dans votre métier, tout communique. Raison de plus pour choisir des tenues plus efficaces, plus rassurantes et… plus belles !

 

Ce pari est rendu possible avec l’introduction des coupes et de la technicité du confort disponibles dans le textile grand public. L’utilisation d’élasthanne aux endroits qui nécessitent de l’aisance apporte un confort tout au long de la journée. Pour les adeptes d’une allure décontractée, plus besoin de concession avant de se rendre au travail : les coupes stylisées et une large gamme de coloris, pour tous les teints et tous les caractères, ont étés travaillés par les meilleurs stylistes de la collection Infinity. Et comme dans la vie de tous les jours, chacun a ses préférences en matières de détails, Cherokee a décliné sa gamme avec un maximum d’éléments de personnalisation : ceintures en bandeaux élastiques larges, cols et poches originaux, doubles coutures et aussi petites cordelettes d’ajustement aux épaules ou aux pieds…

 

Oui, choisir un vêtement doté des dernières technologies antimicrobiennes, c’est bien mais le faire sans compromis avec le style, c’est encore mieux ! Cette collection est la symbiose parfaite pour les chirurgiens-dentistes qui souhaitent associer style unique et moderne, confort absolu et protection optimale.

 


 

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Cet article vous est proposé par la marque de vêtements médicaux, Mankaia.
Pour en savoir plus, cliquez ici.

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Le financement du véhicule

le 17-11-2020

Avec un crédit professionnel je peux financer n’importe quel véhicule ?

Un financement professionnel pour votre véhicule peut concerner aussi bien une voiture qu’une moto.
Il faut simplement que ce véhicule vous soit utile pour votre activité professionnelle ou pour vous rendre à votre cabinet. Dans le premier cas c’est un usage professionnel et dans le deuxième un usage dit mixte. Quel que soit l’usage, si vous avez un doute sur le modèle qui vous convient, vous pouvez consulter votre expert-comptable.

 

 

Pour le financement je choisis quel type de financement ?

Si vous achetez un véhicule d’occasion vous n’avez pas le choix : c’est forcément un crédit amortissable qui pourra vous être proposé. Pour un véhicule neuf vous pouvez par contre choisir un crédit-bail (ou leasing, c’est la même chose !). En crédit amortissable vous êtes propriétaire du véhicule alors qu’avec le crédit-bail vous être propriétaire à la fin de la période de location.  Le coût entre les deux formules de financement est identique : l’intérêt du crédit-bail est ailleurs !

 

Pourquoi choisir le crédit-bail pour ma voiture ?

Le crédit-bail permet de déduire l’ensemble des loyers de votre revenu imposable (en respectant bien sût les règles fiscales en vigueur). Ainsi, si votre véhicule est à usage exclusivement professionnel vous déduisez 100% des loyers.  Pour un achat à usage mixte (professionnel et personnel) la déduction est faite au prorata de votre utilisation.
Autre avantage, vous pouvez demander un premier loyer majoré de 20% pour défiscaliser plus fortement la première année.

 

Pour les assurances du crédit comment cela se passe-t-il ?

Pour le financement il est conseillé de souscrire une assurance des emprunteurs qui pourra vous couvrir en cas de perte totale et irréversible d’autonomie, d’incapacité totale temporaire de travail (option), d’incapacité professionnelle définitive de travail (option) et de décès… Vivement recommandée, une assurance perte financière permet également, en cas de destruction ou de vol du véhicule, de compléter la différence entre la somme remboursée par votre assureur et le solde dû à BNP Paribas Lease Group (franchise soustraite).

 

Concrètement comment monter un dossier ?

Vous contactez CMV Médiforce par téléphone ou sur internet (cmvmediforce.com) et vous effectuez des simulations de crédit. Sur internet, pas besoin de vous identifier, il vous suffit d’indiquer votre profession et le bien à financer ainsi que le montant souhaité. Vous obtenez immédiatement une simulation avec l’offre en crédit-bail et en crédit amortissable : c’est plus simple pour comparer ! Une fois votre choix fait, vous remplissez le formulaire de demande de crédit. Sur internet les frais de dossier sont offerts !


 

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Défiscalisation au cabinet dentaire

le 03-11-2020

Pour le chirurgien-dentiste libéral, le financement d’un matériel dentaire, d’un véhicule professionnel ou de travaux peuvent permettre d’optimiser la fiscalité du cabinet.

 

Investir et défiscaliser sont tout à fait compatibles ! Il serait comptablement illogique de se priver de cette possibilité de diminuer son imposition. Quand les revenus du cabinet augmentent de manière inattendue et que la fin de l’année approche il devient urgent d’agir afin d’éviter une flambée de la fiscalité.
L’une des solutions, rapide à mettre en place, consiste à investir pour le développement du cabinet. Pour les investissements des professions dentaires, on pense immédiatement à un fauteuil dentaire, un panoramique, un compresseur, mais d’autres matériels ou aménagements médicaux peuvent être financés. Le chirurgien-dentiste peut également changer son véhicule professionnel pour bénéficier des avantages de la défiscalisation (mais en respectant les règles fiscales en vigueur !). En cas d’interrogation, un appel à l’expert-comptable permet de lever le doute sur des questions de gestion compliquées. Pour le cabinet, des travaux dans la salle d’attente ou un nouvel équipement informatique pourront tout à fait à diminuer les impôts de tout professionnel de santé.

 

Pour tous ces équipements (matériels ou véhicule), défiscaliser avec un crédit classique ou un crédit-bail (voire une location financière) est possible jusqu’au mois de décembre. Il faut que l’équipement soit réceptionné et que la première mensualité ou le premier loyer soit payés avant la fin de l’année.
Pour les travaux dans le cabinet, il faut donc prendre en compte la durée des travaux pour bénéficier des avantages fiscaux dans les temps.

 

Crédit ou crédit-bail ?

Un crédit classique peut financer un matériel ou un véhicule neuf ou d’occasion. Ce type de financement permet de déduire l’amortissement fiscal du matériel, les intérêts de l’emprunt ainsi que les frais d’assurance ou d’entretien.

Le crédit-bail est réservé aux matériels ou véhicules neufs. Avec ce financement les loyers sont déductibles intégralement* dès lors que l’équipement est affecté à l’actif professionnel. Cet avantage s’applique prorata du temps en cas de financement en cours d’année.
Pour défiscaliser de manière plus fortement, en fin d’année, le crédit-bail permet de choisir une option « booster » : le premier loyer majoré. Le chirurgien-dentiste libéral peut ainsi effectuer une déduction minimum de 20 % du coût du financement.

Toujours pour optimiser la fiscalité, le crédit-bail permet également de choisir des loyers annuels.

 

Le principe de la défiscalisation…

Lorsque le chirurgien-dentiste exerce en cabinet individuel, il profite directement d’une minoration de son impôt sur le revenu. Le montant des loyers du crédit-bail (ou leasing), de l’amortissement fiscal ou des intérêts du crédit augmente ses charges professionnelles… et diminue de la même façon son bénéfice ! Or, l’impôt personnel d’un praticien individuel étant lié au montant de son bénéfice, l’économie fiscale profite à l’ensemble de son imposition. Elle peut lui permettre de s’exempter d’un passage dans une tranche supérieure du barème !

Lorsqu’il exerce dans une société, avec plusieurs associés, c’est la structure qui finance le matériel et diminue l’imposition. Ici le gain de la défiscalisation permet de dégager de la trésorerie pour d’autres investissements ou de développer le chiffre des distributions de bénéfices.

Ces avantages s’appliquent, là aussi, au prorata du financement sur l’année : un crédit conclu le 1er octobre, par exemple, autorise une déduction des intérêts et les amortissements sur tout le dernier trimestre de l’année en cours !

 

*Attention pour les véhicules qui sont soumis à un plafond de déduction fiscale selon le taux d’émission de CO2 et l’année d’acquisition du véhicule.

 


 

Cliquez ici pour faire une demande de financement de votre matériel professionnel !
Les nouveaux barèmes fiscaux des véhicules professionnels en 2020, en savoir plus !

 

Toutes les offres de crédits s’entendent sous réserve d’acceptation par CMV Médiforce. 

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La prévoyance des chirurgiens-dentistes : à quoi faut-il faire attention ?

le 30-09-2020

La prévoyance des chirurgiens-dentistes procurée par la Caisse autonome de retraite des chirurgiens-dentistes et des sages-femmes (CARCDSF) procure des garanties contre la plupart des différents risques concernés (arrêt de travail, invalidité et décès). Elle n’en n’est pas moins très insuffisante et nécessite la souscription d’une couverture supplémentaire adaptée.

 

Arrêt de travail : des indemnités journalières à compter du 91è jour

Les chirurgiens-dentistes perçoivent des indemnités journalières (IJ) à compter du 91è jour d’arrêt de travail, et ce dans la limite de 36 mois. Le montant de la prestation était de 97,16 € en 2019 (montant non encore communiqué pour 2020). Elle est servie à compter du 91è jour d’arrêt de travail et ce, dans la limite de 36 mois.

En cas de rechute dans le délai d’un an, les indemnités journalières sont à nouveau versées à compter du 15è jour de cette rechute.

Au-delà de 36 mois (durée maximum théorique de perception), l’assuré peut demander à la commission d’inaptitude de la CARCDSF la reconnaissance de l’incapacité professionnelle permanente ou de l’inaptitude. Il peut également demander une prolongation du service de l’indemnité journalière pour une nouvelle période maximum de 12 mois. Pour autant, des prestations supplémentaires devront être souscrites pour procurer un revenu décent en cas d’arrêt de travail.

 

 

Points de vigilance :
• Quels revenus percevoir en cas d’arrêt de travail ?
• À partir de quand la prestation du régime supplémentaire doit-elle débuter (ce qu’on appelle le délai de franchise) ?
• Durant combien de temps la prestation supplémentaire doit-elle être versée ?

 

Invalidité : des garanties obligatoires très insuffisantes

L’invalidité partielle
Aucune pension n’est servie en cas d’invalidité partielle. C’est bien évidemment un point majeur d’attention dans le cadre d’une stratégie personnelle de prévoyance.

 

L’invalidité totale
Le montant de la pension annuelle s’élève à 26 559,80 € en 2019 (montant non encore communiqué pour 2020). La pension est majorée de 7 773,60 € en 2019 (montant non encore communiqué pour 2020) pour chaque enfant à charge.
Conditions d’attribution :
• L’assuré ne doit pas avoir atteint l’âge minimal de départ en retraite,
• Il doit être dans un état d’invalidité totale et définitive,
• Il doit avoir cessé toute activité et être à jour de ses cotisations.

Le besoin d’une tierce personne
Le fonds d’action sociale peut accorder sur décision du médecin conseil de la caisse une aide pour tierce personne aux invalides ayant besoin d’être assistés pour accomplir les actes ordinaires de la vie.
Point de vigilance :
• Quels revenus percevoir en cas d’invalidité ?

 

Décès : des prestations à renforcer

Trois types de garanties sont prévus par la CARCDSF :

 

Capital décès

Un capital décès de 16 195 € en 2019 (montant non encore communiqué pour 2020) était attribué au conjoint survivant ou aux orphelins.

 

La rente conjoint
Le conjoint survivant marié depuis au moins 2 ans (sauf si un enfant au moins est issu du mariage) non divorcé et non remarié, a droit à une rente annuelle. Montant de la rente annuelle : 17 231,48 € en 2019 (montant non encore communiqué pour 2020).
S’il ne remplit pas les conditions pour bénéficier de la rente annuelle ou qu’il préfère renoncer à celle-ci, le conjoint survivant peut percevoir à la place une allocation unique dont le montant varie en fonction de l’âge du conjoint survivant.

 

La rente orphelin
Une rente orphelin était prévue pour un montant de 11 660,40 € en 2019 par an (montant non encore communiqué pour 2020) et par enfant. Elle est servie jusqu’à l’âge de 18 ans (et 25 ans si l’enfant à charge poursuit ses études et sans limite d’âge s’il est atteint d’une incapacité permanente).

Point de vigilance :
• Quels revenus percevoir en cas d’invalidité ?


Un contrat de prévoyance individuel nécessite un bilan personnalisé. Si vous souhaitez être contacté par Ilane Sarcher, cliquez ici.

Ilane Sarcher

58 bis rue de  la Chaussée d’Antin
75009 Paris
01 80 88 37 87

06 63 76 00 38

Site internet

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5 actions à mettre en œuvre pour optimiser la reprise d’activité

le 02-06-2020

Après le défi de la fermeture sept semaines d’affilée, c’est maintenant celui de la reprise qui a commencé. Un challenge multiple, mêlant besoin de sécurité et relance de votre activité, mais que vous saurez, avec la bonne méthode et les bons outils, relever.

Doctolib a adapté ses solutions au contexte actuel pour vous aider à repartir dans les meilleures conditions. Les équipes de Doctolib ont échangé avec des chirurgiens-dentistes, ont entendu leurs préoccupations et se sont inspirés de leurs idées afin de vous proposer les pistes les plus efficaces. Pour vous et pour vos patients.

 

1. Impliquez vos patients pour la protection face au COVID
Envoyez à vos patients des consignes claires d’hygiène afin d’assurer votre sécurité, celle de vos collaborateurs et celles de vos patients.

2. Facilitez le travail de votre assistant(e) dentaire
En cette période, c’est à l’assistant(e) dentaire que revient la tâche primordiale de l’hygiène et de l’asepsie du cabinet. Pour y faire face, aidez-la à ne pas être parasitée par d’autres tâches : secrétariat, rappel des patients, gestion des rendez-vous…

3. Télé-consultez
L’utilisation de la consultation vidéo vous permet de :
• Reprendre au mieux votre activité en gérant la forte demande de consultations,
• Éviter à vos patients tout déplacement non nécessaire à votre cabinet,
• Minimiser ainsi les contraintes d’hygiène et de stérilisation qui suivent chaque consultation.

Nous mettons la téléconsultation gratuitement à disposition de tous les chirurgiens-dentistes utilisateurs de Doctolib jusqu’à fin juin 2020

4. Reprenez votre agenda en main
Que vous soyez face à une feuille blanche ou que vous ayiez deux mois de rendez-vous à replacer, votre salut se trouve dans une organisation millimétrée. Vous avez une opportunité peut-être unique : celle de ne pas subir votre emploi du temps.

5. Préférez les séances longues
Votre organisation en mode post-confinement vous oblige à une réduction drastique du nombre de patients reçus chaque jour. Optimisez donc le temps passé avec chacun d’entre eux.

 

Dans un monde de la santé en pleine mutation, Doctolib vous accompagne pour vous faciliter le quotidien. Contactez-nous sur info.doctolib.fr pour en savoir plus sur nos solutions.

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